Lors du Comité de Groupe du mois de juin la CFE-CGC, unique syndicat dédié exclusivement à la défense des droits de l’encadrement, a demandé avec détermination la réouverture des négociations salariales.
Notre Organisation Syndicale a insisté auprès du Président Jean-Charles Naouri pour que l’encadrement ne soit pas oublié.

L’inflation connaît un pic en 2022: la perte de pouvoir d’achat impacte durement tous les salariés. Au sein du Groupe, les négociations salariales annuelles initiales n’ont pas pris en compte ou anticipé cette hausse pourtant prévisible et annoncée. Elles se sont limitées à un rattrapage de l’augmentation du coût de la vie de l’année 2021.
La CFE CGC a souhaité l’ouverture rapide de ces négociations afin de préserver le pouvoir d’achat des Agents de Maîtrise et des Cadres.
La demande de la CFE-CGC était animée par une volonté d’équité et de justice sociale pour amortir au mieux l’incidence de l’inflation : « une augmentation générale pour l’ensemble de l’encadrement».
Ces négociation ont amené les revalorisations salariales suivantes, applicables au 1er octobre 2022, pour les salariés de DCF et d’ EASYDIS :

2%     d’augmentation pour les employés 
1.5 % d’augmentation pour les Agents de Maîtrise 
1 %     d’augmentation pour les Cadres niveau 7 et 8 

Force est de constater que notre demande a été partiellement entendue car aucune augmentation générale pour les Cadres 7 et 8 n’avait été concédée jusqu’à ce jour. Ce qui est une véritable avancée.
Des négociations sont en cours chez Casino Services et à venir chez Sudeco et IGC Services.

Dans un esprit de responsabilité, afin de préserver le niveau de vie de l’encadrement, la CFE-CGC a signé ces accords. Cependant, elle déplore que ces négociations salariales n’aient pas concerné l’ensemble des entités du Groupe.